La liberté de choisir

>> La liberté de choisir,certes mais en connaissance de cause. Mon expérience de la santé et mes diverses formations et informations regroupées, m’ont permis de comprendre qu’un malade est l’acteur principal de son traitement.

Et que plutôt d’ouvrir la bouche quand on me le demande et d’avaler, je ne me gêne pas pour demander ce que c’est, pour quel but, et avec quels effets secondaires éventuels. c’est un droit, et cela devrait être un devoir envers soi même.

>> Extrait du code de santé :

Article L1111-4

Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.

Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre tout traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en oeuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l’article L. 1110-10.

Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.

DU coup dans un continuité de liberté et de réelle transparence, LA PETITION SUR LA LIBERTE DE VACCINATION (juste ci-dessous) et un lien vers l’association ALIS ASSOCIATION LIBERTE INFORMATION SANTE, ce lien regorge d’excellentes informations – je vous le recommande fortement.

————————–

Ne laissez pas votre médecin
vous injecter de la mort aux rats !

Madame, Monsieur,

Le vaccin Gardasil, conseillé à toutes les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus, contient du borate de sodium, utilisé dans la mort aux rats, car toxique pour le système nerveux. (1)

Il contient aussi du polysorbate, utilisé comme stérilisant chez les souris.

130 décès et toujours recommandé par les autorités sanitaires

Ce vaccin suscite la polémique car il aurait déjà provoqué 30 000 accidents, dont 130 décès. Mais il est toujours recommandé par les autorités sanitaires. Résultat, tous les jours, de nouvelles jeunes femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son potentiel danger.

Est-ce acceptable ? Nous ne le pensons pas et c’est pourquoi je vous demande de signer la pétition par laquelle nous demandons au gouvernement le retrait des adjuvants dangereux dans les vaccins.

C’est le moment ou jamais de vous faire entendre

En mars 2012, un groupe de députés s’est formé à l’Assemblée nationale pour réclamer un moratoire sur les vaccins contenant de l’aluminium. L’aluminium est cancérigène, il provoque la maladie d’Alzheimer, et cause une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages. Pourtant, de nombreux vaccins en contiennent, y compris l’un des plus répandus, le DTP (diphtérie tétanos polio). (2)

L’Académie de Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont neurotoxiques. (3)

Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait déclenché un myofasciite à macrophages chez un employé de la ville de Paris. (4)

Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a réalisé un rapport sur « aluminium et vaccins » rendu public le 29 juillet 2013 (5). Dans ce document, le HCSP avoue ne pas savoir si la persistance des lésions musculaires causées par l’aluminium présente ou non un caractère pathologique.

L’association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) a réuni 75 000 signatures pour exiger la mise à disposition d’un vaccin de base (DTPolio) sans aluminium.

NOUS DEVONS BATTRE LE FER TANT QU’IL EST CHAUD.

Profitons de cette exceptionnelle conjonction de facteurs pour exiger des autorités sanitaires le retrait de tous les adjuvants dangereux.

Signez et faites signer la pétition ci-dessous à toutes vos connaissances

Nous sommes à un moment historique, que nous attendions depuis des années. Jamais les circonstances n’ont été aussi favorables. L’association E3M a d’ailleurs été reçue, le 23 juillet 2013, le cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine, preuve que le sujet est chaud, brûlant !

Car l’aluminium vaccinal n’est pas un cas isolé, loin de là !! Ce n’est au contraire que la partie émergée de l’iceberg.

800 effets secondaires, narcolepsie et un risque de sclérose en plaques augmenté de 300%

Le vaccin pour les bébés Infanrix Hexa contient du mercure, qui est encore bien plus toxique que l’aluminium. Selon un document confidentiel de son fabricant, le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline, ce vaccin est associé à plus de 800 effets secondaires, comme la mort subite du nourrisson, le diabète, l’autisme, l’épilepsie, etc. (6)

Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix contenait du squalène. Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable.

Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques.

Une étude de 2004 menée par l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B.

Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.

Peut-être avez-vous un enfant, un proche, qui souffre ou qui est décédé d’une de ses maladies. Peut-être êtes-vous vous même touché.

Demain, on vous injecte des vaccins de force, à moins que…

Mais même si ce n’est pas le cas, et que vous êtes conscient du danger des adjuvants dans les vaccins, vous n’êtes pas à l’abri pour autant. On sait en effet qu’en cas de pandémie, les gouvernements du monde entier pourront, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), décider de vacciner de force toutes les populations.

Cela signifie pour vous que vous pourriez malgré tout vous faire injecter un jour, sous la contrainte, un vaccin dangereux, qui vous déclencherait une grave maladie comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer.

Mais ce risque peut-être considérablement réduit si, aujourd’hui, vous et moi parvenons à faire interdire les adjuvants dangereux comme le mercure, l’aluminium, le borate de sodium (mort aux rats) ou le formaldéhyde.

C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition ci-dessous, et de transférer ce message à tout votre carnet d’adresses.

Vous rendrez également un immense service à des millions d’enfants

En trente ans, le nombre de vaccins administrés aux tout-petits a plus que doublé. Pire, on leur injecte aujourd’hui des vaccins combinant des germes de huit maladies différentes, ceci alors que leur système immunitaire n’est pas préparé.

Surexcité, le système immunitaire des bébés peut s’emballer et provoquer une réaction incontrôlable. Voici le témoignage d’une maman qui a vécu ce drame, recueilli par le Forum Européen pour la Vaccinovigilance :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Ils nient, se taisent et ne font rien ?!?

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments).

De leur côté, les autorités sanitaires conservent au sujet des vaccins un silence coupable. Elles savent qu’elles n’ont pas joué leur rôle : aujourd’hui encore, elles dispensent les vaccins, on ne sait pourquoi, des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérigène, mutagène (changement d’ADN) et tératogène (maladies qui passent aux descendants).

Ces tests sont pourtant systématiquement imposés aux médicaments, et même aux cosmétiques.

Pourquoi les vaccins, qui contiennent des substances qui sont parmi les pires poisons que l’on trouve dans la nature, en sont-ils dispensés ?

Sommes-nous bien en 2013 ?

Comment n’a-t-on pas encore inventé un vaccin sans substances toxiques ?

Qui se permet de jouer à la roulette russe avec notre santé, avec nos vies, chaque fois que nous nous faisons vacciner ?

Aidez-nous à sauver des milliers de personnes. Signez la pétition ici. Le mouvement doit être massif, et nous pouvons obtenir que les adjuvants vaccinaux dangereux soient enfin interdits.

Je porterai personnellement la liste des signatures au ministre de la Santé Marisol Touraine.

Et notre association entreprendra toutes les démarches nécessaires auprès du Parlement et des autorités nécessaires pour obtenir gain de cause.

Mais vous seul pouvez donner la légitimité démocratique à notre action. C’est pourquoi votre signature est indispensable.

Peut-être est-ce votre voix qui fera la petite différence qui fera tout basculer. C’est pourquoi, je vous en prie, maintenant que vous avez lu tout ce message, ne quittez pas cette page sans avoir ajouté votre nom à notre pétition. Je compte sur vous, au nom de toutes les personnes dont la santé et la vie seront épargnées grâce à notre campagne.

Un grand merci d’avance. Et surtout, n’oubliez pas de transférer ce message le plus largement possible.

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Sources :

(1) Interrogé sur les risques sanitaires que présente le Gardasil, du fait notamment de la présence de sels de bore dans sa composition, le Ministre de la Santé a rappelé que la toxicité de ce composant sur les fonctions de reproduction était connue, avant de préciser que la dose présente dans le vaccin est très largement inférieure à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique et l’exposition restait alors limitée dans le temps (Question n° 129978, JOAN 1er mai 2012, page 3343). Initiative Citoyenne « La toxicité sur les fonctions de reproduction de l’acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l’homme, la valeur seuil d’exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kgg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique. Par ailleurs, il s’agit d’une exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d’un intervalle d’au moins deux mois).  » Initiative Citoyenne

(2) Aluminium et Vaccins : Les réponses du Ministère aux questions des parlementaires, analysées par E3M

(3) Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité, Observations de l’association E3M sur le rapport de l’Académie de Médecine

(4) Vaccin : ce que tout parent doit savoir

(5) Aluminium et vaccins

(6) Confidential to regulatory authorities

————————————–

Libres de choisir nos vaccins !
Dites-nous la vérité sur les risques et bénéfices réels des adjuvants dans les vaccins

Monsieur le président de la République,
Madame la ministre,

Les dangers liés aux adjuvants utilisés dans les vaccins ont été soulignés par de nombreuses études.

Le Conseil d’Etat a reconnu en 2012 que l’aluminium contenu dans un vaccin contre l’hépatite B avait déclenché un myofasciite à macrophages chez un employé de la ville de Paris.

Un nombre grandissant de nos concitoyens s’inquiète des conséquences des adjuvants dangereux et du maintien de politiques de vaccination massive et systématique malgré les risques possibles liés à ces adjuvants.

Par la présente pétition, nous vous demandons donc de :

1/ Mener des études sur les adjuvants dangereux afin d’éclairer les scientifiques, les soignants et le public sur les risques qu’ils comportent.

Ces études ne peuvent avoir de sens que si elles intègrent des scientifiques indépendants dans leur comité de pilotage ou scientifique et qu’il existe un dialogue avec la société civile par le biais d’Internet ou des associations de patients.

2/ De suspendre au nom du principe de précaution l’utilisation d’adjuvants dangereux dans les vaccins tant que les résultats de ces études n’ont pas été publiés.

3/ Proposer d’urgence une réflexion sur le calendrier vaccinal et le nombre de vaccins recommandés.

Veuillez agréer Monsieur le président de la République, Madame la ministre, l’expression de mes salutations respectueuses.

SOURCE : ipsn.eu

Ne laissez pas votre médecin
vous injecter de la mort aux rats !

Madame, Monsieur,

Le vaccin Gardasil, conseillé à toutes les jeunes filles contre le cancer du col de l’utérus, contient du borate de sodium, utilisé dans la mort aux rats, car toxique pour le système nerveux. (1)

Il contient aussi du polysorbate, utilisé comme stérilisant chez les souris.

130 décès et toujours recommandé par les autorités sanitaires

Ce vaccin suscite la polémique car il aurait déjà provoqué 30 000 accidents, dont 130 décès. Mais il est toujours recommandé par les autorités sanitaires. Résultat, tous les jours, de nouvelles jeunes femmes en France, en Europe, dans le monde entier, se laissent administrer ce vaccin parce qu’on leur cache son potentiel danger.

Est-ce acceptable ? Nous ne le pensons pas et c’est pourquoi je vous demande de signer la pétition par laquelle nous demandons au gouvernement le retrait des adjuvants dangereux dans les vaccins.

C’est le moment ou jamais de vous faire entendre

En mars 2012, un groupe de députés s’est formé à l’Assemblée nationale pour réclamer un moratoire sur les vaccins contenant de l’aluminium. L’aluminium est cancérigène, il provoque la maladie d’Alzheimer, et cause une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages. Pourtant, de nombreux vaccins en contiennent, y compris l’un des plus répandus, le DTP (diphtérie tétanos polio). (2)

L’Académie de Médecine a publié en 2012 un rapport sur les adjuvants vaccinaux dans lequel elle reconnaît officiellement que les sels d’aluminium sont neurotoxiques. (3)

Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait déclenché un myofasciite à macrophages chez un employé de la ville de Paris. (4)

Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) a réalisé un rapport sur « aluminium et vaccins » rendu public le 29 juillet 2013 (5). Dans ce document, le HCSP avoue ne pas savoir si la persistance des lésions musculaires causées par l’aluminium présente ou non un caractère pathologique.

L’association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) a réuni 75 000 signatures pour exiger la mise à disposition d’un vaccin de base (DTPolio) sans aluminium.

NOUS DEVONS BATTRE LE FER TANT QU’IL EST CHAUD.

Profitons de cette exceptionnelle conjonction de facteurs pour exiger des autorités sanitaires le retrait de tous les adjuvants dangereux.

Signez et faites signer la pétition ci-dessous à toutes vos connaissances

Nous sommes à un moment historique, que nous attendions depuis des années. Jamais les circonstances n’ont été aussi favorables. L’association E3M a d’ailleurs été reçue, le 23 juillet 2013, le cabinet de la ministre de la Santé Marisol Touraine, preuve que le sujet est chaud, brûlant !

Car l’aluminium vaccinal n’est pas un cas isolé, loin de là !! Ce n’est au contraire que la partie émergée de l’iceberg.

800 effets secondaires, narcolepsie et un risque de sclérose en plaques augmenté de 300%

Le vaccin pour les bébés Infanrix Hexa contient du mercure, qui est encore bien plus toxique que l’aluminium. Selon un document confidentiel de son fabricant, le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline, ce vaccin est associé à plus de 800 effets secondaires, comme la mort subite du nourrisson, le diabète, l’autisme, l’épilepsie, etc. (6)

Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix contenait du squalène. Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable.

Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques.

Une étude de 2004 menée par l’épidémiologiste américain Hernan a montré qu’il existait un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B.

Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite et bien d’autres maladies encore.

Peut-être avez-vous un enfant, un proche, qui souffre ou qui est décédé d’une de ses maladies. Peut-être êtes-vous vous même touché.

Demain, on vous injecte des vaccins de force, à moins que…

Mais même si ce n’est pas le cas, et que vous êtes conscient du danger des adjuvants dans les vaccins, vous n’êtes pas à l’abri pour autant. On sait en effet qu’en cas de pandémie, les gouvernements du monde entier pourront, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), décider de vacciner de force toutes les populations.

Cela signifie pour vous que vous pourriez malgré tout vous faire injecter un jour, sous la contrainte, un vaccin dangereux, qui vous déclencherait une grave maladie comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer.

Mais ce risque peut-être considérablement réduit si, aujourd’hui, vous et moi parvenons à faire interdire les adjuvants dangereux comme le mercure, l’aluminium, le borate de sodium (mort aux rats) ou le formaldéhyde.

C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition ci-dessous, et de transférer ce message à tout votre carnet d’adresses.

Vous rendrez également un immense service à des millions d’enfants

En trente ans, le nombre de vaccins administrés aux tout-petits a plus que doublé. Pire, on leur injecte aujourd’hui des vaccins combinant des germes de huit maladies différentes, ceci alors que leur système immunitaire n’est pas préparé.

Surexcité, le système immunitaire des bébés peut s’emballer et provoquer une réaction incontrôlable. Voici le témoignage d’une maman qui a vécu ce drame, recueilli par le Forum Européen pour la Vaccinovigilance :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tétanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont dû faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, il déclenche de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Ils nient, se taisent et ne font rien ?!?

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments).

De leur côté, les autorités sanitaires conservent au sujet des vaccins un silence coupable. Elles savent qu’elles n’ont pas joué leur rôle : aujourd’hui encore, elles dispensent les vaccins, on ne sait pourquoi, des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérigène, mutagène (changement d’ADN) et tératogène (maladies qui passent aux descendants).

Ces tests sont pourtant systématiquement imposés aux médicaments, et même aux cosmétiques.

Pourquoi les vaccins, qui contiennent des substances qui sont parmi les pires poisons que l’on trouve dans la nature, en sont-ils dispensés ?

Sommes-nous bien en 2013 ?

Comment n’a-t-on pas encore inventé un vaccin sans substances toxiques ?

Qui se permet de jouer à la roulette russe avec notre santé, avec nos vies, chaque fois que nous nous faisons vacciner ?

Aidez-nous à sauver des milliers de personnes. Signez la pétition ici. Le mouvement doit être massif, et nous pouvons obtenir que les adjuvants vaccinaux dangereux soient enfin interdits.

Je porterai personnellement la liste des signatures au ministre de la Santé Marisol Touraine.

Et notre association entreprendra toutes les démarches nécessaires auprès du Parlement et des autorités nécessaires pour obtenir gain de cause.

Mais vous seul pouvez donner la légitimité démocratique à notre action. C’est pourquoi votre signature est indispensable.

Peut-être est-ce votre voix qui fera la petite différence qui fera tout basculer. C’est pourquoi, je vous en prie, maintenant que vous avez lu tout ce message, ne quittez pas cette page sans avoir ajouté votre nom à notre pétition. Je compte sur vous, au nom de toutes les personnes dont la santé et la vie seront épargnées grâce à notre campagne.

Un grand merci d’avance. Et surtout, n’oubliez pas de transférer ce message le plus largement possible.

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Sources :

(1) Interrogé sur les risques sanitaires que présente le Gardasil, du fait notamment de la présence de sels de bore dans sa composition, le Ministre de la Santé a rappelé que la toxicité de ce composant sur les fonctions de reproduction était connue, avant de préciser que la dose présente dans le vaccin est très largement inférieure à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique et l’exposition restait alors limitée dans le temps (Question n° 129978, JOAN 1er mai 2012, page 3343). Initiative Citoyenne « La toxicité sur les fonctions de reproduction de l’acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l’homme, la valeur seuil d’exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kgg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l’innocuité de ce dérivé de l’acide borique. Par ailleurs, il s’agit d’une exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d’un intervalle d’au moins deux mois).  » Initiative Citoyenne

(2) Aluminium et Vaccins : Les réponses du Ministère aux questions des parlementaires, analysées par E3M

(3) Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité, Observations de l’association E3M sur le rapport de l’Académie de Médecine

(4) Vaccin : ce que tout parent doit savoir

(5) Aluminium et vaccins

(6) Confidential to regulatory authorities

PS : Rappel pour la Belgique : N’oubliez pas la conférence du 29 novembre prochain à Namur sur la médecine autoritaire. Nous parlerons aussi des vaccins : Les dangers d’une médecine autoritaire – Grande Conférence à Namur! Ce sera aussi une occasion de rendre un hommage appuyé à Sylvie Simon.

 

Publié par mixate

https://mixate.wordpress.com/a-propos-de-moi/

21 commentaires sur « La liberté de choisir »

    1. Je le suis aussi, sûrement que d’avoir mon fils dans l’âge me fait me rendre compte, car pour moi même je m’en foutais et laisser faire le médecin qui doit être archi responsable avec toutes ses études…
      Que neni
      😦

  1. Il est vrai que nous sommes tous un peu les victimes passives d’une « information » de masse non détaillée, hélas! Bel article!

  2. Non, je ne crois pas que nous devions avaler ou accepter tout seulement parce que le médecin le dit! Comme toi mon ami, je crois que l’individu est le premier acteur responsable de sa santé, son médecin en est le second. Après tout, qui des deux en souffre de ce mal quelconque? Le patient ou le médecin, ou encore le ministre de la santé? Le patient? Très bien, alors qu’on le laisse choisir d’avaler ou non! Bravo et merci de partage de cet article très intéressant et informatif! Bon dimanche, bisous.

    1. Oui je sais et je n’ai pas envie d’injecter autant de merde a mon fils, sans savoir le vrai du faux
      Bon dimanche a toi candide et merci de ton passage, ton like et ton comm

      Avant je blogais pour l’homme invisible, Grace a toi mon blog a pris vie 😉

  3. les medecins souvent sont mal informés, justement c’est le cas avc le vaccin b
    bizarre, je connais quelqun qui de suite a eu la sp, et donc on nous disait faut pas se faire vacciner, chez mon medecin, elle voulait me le faire je lui dis, non je veux pas, j’ai le cas chez moi, elle me dit mais non ya rien a craindre j’ai été a une réunion et patati, je dis ok, je reflechi, parceque tout ce qu’elle m’avait dit m’avait donné la petoche et elle me culpabilisait sur le fait que je faisai pas bien de ne pas me faire vacciner pour l’entourage etc
    bref, peu de temps apres, je vois que si ds ta famille ya un blem fo pas se faire vacciner,
    et la je retourne avc mes enfants et la, je lui dis vous voyez, et elle me dit, bah oui je sais comme quoi on nous dis pas tout excusez moi

    bah oui excusez moi !!!!!!!!!! du coup c’est noté sur les carnets de santé,

    sinon, moi je prend des traitements, et justement je me pose de serieuses questions

  4. Eh bien ça fait très peur, surtout pour nos jeunes enfants. On pense que le médecin est responsable, il faut croire que non 😦 Merci en tout cas pour la diffusion de l’info, je suis allée signer la pétition et je vais partager ! Bon dimanche à toi 🙂

  5. Je crois que beaucoup de médecins ne savent même pas ce qu’ils injectent à leurs patients et n’informent jamais des risques.
    Je me souviens avoir été vaccinée contre l’hépatite B au collège, vaccination massive de tout l’établissement. L’infirmière en charge des piqures n’a jamais posé aucune question ni mentionné ces risques et je crois même que cette vaccination était obligatoire…..c’est fou qu’on soit obligé d’aller chercher les informations pour notre santé alors que les professionnels sont sensés savoir ces choses là……
    Tous ces vaccins pour au final un risque si minime de chopper les maladies pour lesquelles on nous injecte des cochonneries…

    1. oui je sais, j’en suis sans voix…
      et comme tu dis la médecine ne fait pas son travail honnête d’informations..
      les laboratoires ont de beaux restes… encore des millions garantis !!!
      😦
      dire que la france est un des derniers pays a rendre obligatoire tant de vaccins.

  6. Merci Mixate de l’avoir mis sur ton blog 🙂 Moi j’avais signé la pétition mais donc pas mis sur mon blog!
    Surtout que j’aurais eu beaucoup à dire sur les « docteurs en médecine » qui pour beaucoup, je trouve, ne sont pas si « doctes » que cela. Si vous commencez à poser des questions ils vous infantilisent en disant des phrases comme « Mon petit vous rêver etc. » le « mon petit » est très fréquent dans leur bouche.
    Quand on leur met devant les yeux des études faites par des confrères et publiées. Il deviennent muets comme des carpes et souvent refusent de vous soigner sans vous le dire, mais font de la rétention de soins pour vous « punir » d’être des emmerdeurs.
    Quand vous dîtes à un toubib, vous devez savoir OK, mais moi je connais mon corps, c’est tout juste s’il ne vous dit pas que vous fabulez! Si vous lui présentez la posologie et les effets secondaires j’ai entendu il y a très peu : « Mais non faut pas se fier à la posologie, ça n’existe, pas, j’ai jamais vu ça etc. » Vous avez envie de baisser les bras..et vous les baissez! Ce qui les arrangent.
    Je connais quelques médecins de médecine générale qui sont formidables et savent diagnostiquer, écouter et travailler en équipe (patients, spécialistes, etc.), mais ils sont très loin ou à la retraite ou morts…. En plus dans ma région ensoleillée, j’ai l’impression qu’ils sont là, en nombre, pour avoir de belles voitures, maisons…mais le serment d’Hippocrate ils le bafouent à longueur de journée.
    Je reblogue, car faut que ça bouge pour les vaccins et pour tout!

  7. J’ai signé la pétition il y a quelques jours. Je suis toujours sidérée de voir que les patients s’informent si peu de ce qu’ils avalent, de ce qu’on leur injecte ou des traitements préconisés.
    Un livre intéressant à lire : « L’influence cachée des croyances. Médecine, religion et peur. » d’Olivier Clerc aux éditions Jouvence 8,99€

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