Chers lecteurs, Depuis l’année 1979, un homme du nom Jadav Payeng a cultivé à lui tout seul une forêt entière de plus de 550 hectares pour réduire les conséquences de l’érosion . Soit une superficie plus grande que le Central Park de New York ! Et le plus fou, c’est qu’il a fait tout cela avec […]
Bel exploit
voila quelqun qui doit pas compter la quantité de travail que ca represente avant de commencer..
Oh oui
je n en reviens pas !!!!
j’avoues
je suis admiratif de l’élan qui l’anime
Un exemple à suivre
C’est magnifique et courageux!
merci pour ton passage soizic 🙂
c’est remarquable !!! Merci pour ce partage
u r welcome 😉
Un bel exemple de persévérance, c’est un peu ce qui manque actuellement sur notre planète 😉 Bon WE à toi.
un peu
oui euphémisme 😉
😉
Un bel exemple, oui, espérons que personnes ne viendra défaire tout ça au nom de la rentabilité économique ou immobilière.
Ce qui m’a le plus surpris ce de voir que des animaux sauvage soient revenus, comme quoi il possible de concilier la faune, la flore et les humains.
Si seulement on imposait aux sociétés de replanter ce qu’elle arrache pour construire ou autre… mais bon.. on peut rêver.
je pense que c’est le genre de personne qui fait les choses sans se soucier de ce que les autres pourraient faire, il agit il réagit pas
franchement c’est vrai que ca fait du bien de voir que des gens comme ca existe 🙂
On ne peut qu’admirer le coté spontanée de son engagement, il dit à un moment « il faudra me couper moi d’abord avant de couper mes arbres » ça, ça m’inquiète…parce qu’il a fait ça comme ça, et qu’il n’est pas propriétaire du terrain, c’est là que le problème réside.
Si demain des vautours veulent tout raser pour construire je ne sais quoi, il y aura certes des mouvements de protestation et puis ça se fera quand même, hélas, c’est là que ça ne va pas.
Il faut une reconnaissance officielle, il faut qu’il y ait une vraie volonté de préservation de la part des autorités pour que son geste ne reste pas vain.
je ne sais pas si je m’explique très bien 🙂 mais en gros il a fait un truc fou et il faut que ça reste comme ça, voire lui donner des moyens pour continuer et que personne ne vienne tout foutre en l’air 🙂
si tu te fais bien comprendre, je pensais a une prof qui m’a dit un jour « je ne plante qu’un graine en toi, cette graine grandira en toi que tu t’en occupe ou pas, elle est la. »
ses arbres sont la, et ils permettent deja la vie un repeuplement..
c’est vrai que si je vis par mon mental et donc la peur me fera conscientiser les dangers..
je sais pas si a mon tour je me fais comprendre 😀
Si si c’est très clair, du moins j’interprète la chose comme ça, « la peur n’évite pas le danger » ou plus simplement, si on pense à ce qui pourrait arriver, on ne fait rien et on stagne 🙂
yes 😉
merci je n’ai pas l’art de la synthése mais la c’est exactement ca « si on pense à ce qui pourrait arriver, on ne fait rien et on stagne »
J’en avais entendu parler
C’est Exemplaire ! dans le vrai sens du terme 🙂
Il existe une nouvelle de Jean Giono « L’homme qui plantait des arbres » :
il s’agit de l’histoire, présentée comme authentique, du berger Elzéar Bouffier, personnage pourtant de fiction, qui fait revivre sa région, localisée en Haute Provence, entre 1913 et 1947, en plantant des arbres…
Peut-être cet homme en a eu connaissance, mais cela m’étonnerait 😉
J’ai vu la pièce (avec marionnettes) tirée de cette nouvelle et c’était formidable, par le message véhiculé et le traitement de l’histoire.
J’en ai parlé là : http://wp.me/p1fFRW-1nX
où je disais : « … plusieurs paraboles qui se recoupent: « Aide-toi le ciel t’aidera », « Un long voyage commence par un premier pas », « Un homme seul peut tout, détruire, construire ». Cet anti-héros commet un acte exemplaire… patiemment, discrètement avec un total désintéressement : un choix de vie… »
oh que oui un choix de vie…